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Nos souvenirs

Après 8 semaines passées au Chili et en Argentine, nous vous proposons un condensé de nos aventures accompagné de quelques conseils et moments inoubliables.

Le trajet

Cette étape est certainement la plus importante du voyage.

 

Nous avons effectué :

- Plusieurs milliers de kilomètres,

- Un vol intérieur,

- 3 jours de bateau,

- 166 heures de bus

pour descendre de Santiago jusqu’à Ushuaia coté Chili et remonter jusqu’au nord côté Argentine en longeant la cordière des Andes avant de traverser le Nord vers Iguaçu et terminer à Buenos Aires

   
      

Impression générale

Ces deux destinations représentent des distances importantes qu’il ne faut pas négliger dans son planning. La cordière des Andes qui s’étend entre ces deux pays offre des paysages magnifiques à parcourir par arrêts successifs. Les accès entre les deux pays sont clairement facilités pour pouvoir profiter des deux côtés à la fois. Le moyen le plus économique de traverser ces grandes contrées reste les bus qui sont de très bonne qualité. Le coût de la vie (hors transport) reste un peu plus élevé côté Chili même si l’Argentine subit une inflation vertigineuse qui fait grimper fortement les prix. Nous avons été enchanté voire émerveillé par certaines beauté de la nature que nous n’avions encore jamais rencontrées. Les habitants sont globalement très gentils et accueillants. Ils ne cherchent pas forcément à vous vendre quelque chose ou à vous arnaquer et restent très serviables. Nos déplacements d’auberges en auberges auront favorisé les rencontres et auront permis aux enfants de partager des moments avec d’autres adultes que leurs parents….

Les meilleurs moments

Torres Del Paine :

Ce cadre rocheux se visite principalement depuis Puerto Natales à l’arrivée du Navimag. Ce complexe est intégré dans un parc naturel national comprenant des lacs, un glacier et des randonnées tout autour du Torres qui peuvent prendre jusqu’à 9 jours. Nous avons particulièrement été gâté par le temps car la région est d’habitude très venteuse et plus nuageuse. Nous ne serons pas montés pour voir les Tres Torres de près mais les photos que nous avons vues nous ont un peu plus confirmé la beauté du site.

 

Conseils : Attention, les prix sur place sont très chers. Il faut savoir que le parc se situe à 180 kilomètres de la ville donc nécessite un transfert. L’entrée du parc est l’un des plus chers que nous ayons payé (environ 25 euros par personne). Puis sur place les gîtes et campings sont tenus par des sociétés privées qui pratiquent des prix exorbitants. Seuls quelques lieux de camping autorisés restent bons marchés. Il fait facilement froid et pluvieux donc il faut prévoir l’équipement approprié. En période basse, il n’y a qu’un bus aller et un retour par jour en plein milieu de la journée.

Perito Moreno :

Ce glacier ouvert au publique est certainement l’un des plus beaux au monde. Il se situe à 80 kilomètres d’El Calafate. C’est d’ailleurs la plus grosse attraction pour ce village construit au milieu de nulle part. L’aménagement qui est fait est très pratique pour bénéficier d’une vue incroyable sur le glacier et même pour pouvoir éventuellement le toucher !!! Des excursions bateaux sont proposées pour s’y approcher de très près.

 

Conseils : Pour y aller, plusieurs options sont proposées. Il faut prendre le temps de comparer les prix suivant le nombre et le temps que vous avez. La visite peut se faire sur une journée en effectuant les différents trajets balisés sur des passerelles en métal. Comme il est indiqué à l’entrée, il est important de voir et d’écouter la nature… Il existe aussi des tours qui proposent de marcher sur le glacier, cette attraction n’est pas autorisée aux enfants de moins de 10 ans.

Les parcs de San juan :

Au nord de la ville de San Juan, se trouvent 2 parcs classés au patrimoine mondial de l’Unesco : nous nous sommes régalés à parcourir ces 2 parcs : la Vallée de la Lune (parc Ischigualasto) et le parc Talampaya : les couleurs et les formes des roches, ainsi que les immenses canyons nous en ont mis pleins les yeux ! Certes il a fallu parcourir 800 kilomètres pour les découvrir mais ça en fallait vraiment la peine, d’autant plus que les touristes n’étaient pas nombreux ce qui permet d’apprécier encore plus la nature et ce qu’elle nous offre

 

Conseils : Pour pouvoir découvrir ces parcs, il faut louer une voiture à San Juan et se rendre à San Augustin de Valle Fertil. De là il est possible de dormir et d’acheter de quoi manger (même si les restaurants ne courent pas les rues, il y a un supermercado). Le 1er des 2 parcs est encore à 80 km de là et l’autre à 120km. Il est possible de prendre le bus de San Juan à San Augustin de Valle Fertil et de booker ensuite un tour pour visiter les parcs. L’avantage d’être véhiculé permet de prendre plus son temps, bien que sur place les visites sont encadrées : dans la vallée de Luna, les voitures forment une caravane et dans le Talampaya, il faut prendre un tour organisé.

Les environs de San Pedro De Atacama :

Ce lopin de terre situé au nord du Chili regorge de beautés naturelles de tout genre. Nous n’aurons, à cause du mauvais temps (il ne pleut comme ça qu’une fois tous les 2 ans !), malheureusement pu voir qu’une petite partie des richesses de la région si particulière. Désert de sel, Cordières des Andes, lacs d’altitude, geysers, envolée de flamants roses… dans un contexte andin si particulier et si limpide durant les jours de grand soleil.

 

Conseils : Atacama est une ville très isolée et très touristique. Il faut donc prévoir le budget en conséquence. Il n’est pas aisé de faire des excursions tout seul. Par contre, globalement les tours proposent tous les mêmes visites avec quelques variantes. Attention aux prix bas qui cachent souvent quelque chose. Dans tous les cas, la vie d’une petite ville de désert entouré de ses beautés reste un moment inoubliable. Atacama est également un point de départ pour des excursions au salar d’Uyuni côté Bolivie. Ne pas oublier de prendre le temps de s’habituer à l’altitude : certains sites culminent à 4200m !

 Les Chutes d’Iguaçu :

L’une des plus belles chutes au monde se partagent entre les trois pays que sont l’Argentine, le Brésil et le Paraguay. Malheureusement pour ce dernier pas grand-chose à voir. Les chutes se visitent depuis le côté brésilien afin d’avoir la plus belle vue d’ensemble et une immersion dans une des gorges de ce grand complexe et du côté argentin afin de pouvoir « monter » sur ces chutes et mesurer les profondeurs incroyables que cela représente. Les deux côtés sont vraiment complémentaires puisqu’ils permettent d’apprécier le site de manière différente. Nous avons eu vraiment l’impression d’être tout petit devant la grandeur et la beauté de la nature : c’est vraiment magique !     

 

Conseils : Les deux côtés sont organisables depuis le Brésil ou l’Argentine sans souci. Des navettes sont proposées pour aller d’un ou de l’autre côté des frontières. Les offres de transfert des hôtels restent correctes sachant qu’il faut faire attention aux villes frontières. Les prix d’entrée sont assez chers mais vous pouvez vous organiser pour les repas seuls. Le parc côté argentin peut facilement prendre la journée avec plusieurs parcours joignables soit à pied soit par un petit train. Des activités complémentaires sont proposées comme celle de passer sous les chutes en bateau rapide comme nous l’avons fait. Côté brésilien, la visite ne prend que 2 à 3 heures.

Nos meilleurs dodos

L’Ecohostel de Santiago : En discutant dans notre repère de tour de mondiste à savoir le camping de l’île de Pacques, nous avons trouvé le contact de cet auberge. L’hôtel a été aménagé dans une ancienne école et garde tout son cachet d’autrefois. Très bien situé en plein centre de Santiago, elle permet de faire toutes les visites à pied. 

 Le Cabur à San Pedro De Atacama : La ville de San Pedro d’Atacama est une ville de désert constitué de maison basse en terre aménagé pour les plus grandes de petite cours intérieures très intime. Notre hôtel comptait plusieurs chambres autour d’une cour où tout le monde pouvait échanger très facilement. Les couleurs terre des murs donnaient encore plus un cadre authentique à l’endroit.
   Le Querencia de Yann à Buenos Aires : Grâce à Dominique, un collègue de Florent, nous avons eu le contact de Yann, un français qui a décidé de monter un hôtel en plein Buenos Aires. Sa disposition en plein centre ville lui donne un cachet superbe avec deux petits cours intérieurs et des grandes chambres à venir. L’aménagement est en cours et sans nul doute, le résultat sera une très bonne adresse de Buenos Aires à proposer.

Les souvenirs culinaires
 Meilleurs repas

Florent : le curanto avec moule et huître au Chili et la milanaise napolitaine en Argentine

Natacha : la cazuela (un ragout) au Chili et la bœuf de chorizo en Argentine  

Malo : la raclette au Chili et la parilla de son anniversaire en Argentine

Eole : la pizza Dulce De Leche cannelle au Chili et les glaces en Argentine

Nous avons aimé aussi :

Au Chili : Le Aji, petite sauce à base de tomate, d'oignon, de piment et de coriandre, qui accompagnait le pain et le beurre sur les tables au restaurant.

En Argentine : le Dulce de Leche et les alfagores = gâteaux à base de dulce de Leche et coco (les meilleurs), l’institution du maté (tisane à boire dans des gobelets fabriqués avec le fruit du maté avec une pipette qui sert à filtrer les feuilles)

En ce qui concerne la Spécialité que nous n'avons pas aimée :

la soupe de poisson qui accompagnait le curanto : trop fort en goût et trop salé aussi

Nos galères

-          La palme revient à une journée raté à Chiloé : Etant parti dans l’idée d’un moment de repos et de détente dans cette île tranquille, nous avons enchaîné les contrariétés durant les quelques jours sur l’île : Attente désespérée après un loueur de voiture, obligation de reprendre un bus pour faire la moitié de lîle, vol de sac évité de justesse, arnaque à l’hôtel, impossibilité d’aller voir les pingouins et problème de double retrait de carte bleue pour la voiture de location. Il y a des moments dans ces longs voyage ou il y a des phases très difficile comme celle-la…

 

-          La neige au Perito Moreno : N’étant naturellement pas gâtés par le temps (cf précédentes et  futures aventures), nous sommes tombés un jour de neige pour la visite du Perito Moreno. La vue a été donc très fortement gâchée par des nuages bas accrochés aux montagnes environnants le glacier. L’autre problème était le froid qui l’accompagne. Le repas de sandwichs sous la neige (accompagnés d’une petite soupée offerte par des Coréennes) et des pieds à réchauffer restent des moments que les enfants nous ont rappelés souvent par la suite : heureusement il y avait le chocolat chaud dans le seul café fermé du site !

 

-          Les vents de sable et la neige d’Atacama : Le jour de notre arrivée, nous avons traversé les plateaux andins sous une neige assez rares dans cette période. Ces neiges, qui auront duré une journée de plus, vont nous empêcher d’effectuer les excursions d’altitude des jours à venir en bloquant les accès aux cols et les frontières. De plus, nous avons subi le jour de notre arrivée et pour 2 jours suivants des vents de sable ainsi que des pluies (il pleut apparemment une fois tous les 2 ans dans cette région) : pas de chance ! Ce phénomène si particulier nous aura, tout de même, permis pour la première fois de notre vie, d’observer 2 arc-en-ciel en simultané. 

Nos meilleurs moments de partage

-         Les longs trajets en bus : Comme nous l’avons marqué précédemment, nous avons passé dans les bus environs 166 heures soient l’équivalent de 7 jours. Heureusement, ces bus étaient principalement des bus de nuit qui nous permettaient d’économiser les nuits d’hôtels et du temps pour les journées. Cela aura permis de nous poser avec les enfants facilitant le temps pour les devoirs, les jeux de cartes et les devinettes. Les enfants ont été d’ailleurs d’une incroyable sagesse vu certains trajets difficiles que nous leur avons fait passer.       

-         la traversée de la Patagonie chilienne à bord du Navimag : L’avantage de cette traversée est d’être confiné sur un bateau pendant 3 jours avec comme seules activités, les repas, l’observations du paysages et ….des moments de détente. Nous aurons donc passé du temps pour jouer (même au jeu d’échec géant !!!) et discuter avec des rencontres faites sur le bateau.

-         la chasse au puma à Torres Del Paine : Le premier jour de visite du parc, nous avions pris avec nos amis autrichiens, un guide pour nous amener aux principaux sites du parc. Nous avons pu observer un glacier, des montagnes, des lacs, des animaux mais au détour d’un virage, nous avons eu la chance d’apercevoir une famille pumas dans l’attente d’un bon festin de guanaco. Ni une ni deux, toute l’équipe saute de voiture et se met à courir après le père et l’enfant que nous aurons vu rapidement avant qu’ils ne s’échappent dans l’espoir de nous voir partir et de pouvoir reprendre leur chasse….. Une grande chance pour nous tous.

Nos meilleures rencontres

Beaucoup de bonnes rencontres, essentiellement des voyageurs mais pas seulement :

-          Paula, Marek et Lucas de Pucon : une famille tcheco-chilienne rencontrée à l’hôtel Ecole, avec qui nous avons partagé un super journée ainsi qu’une ratatouille !

-          Veronika et Christian d’Autriche : rencontrés à Chiloé, ils ont pris le même ferry Navimag  que nous pour descendre la Patagonie Chilienne. Nous nous sommes également retrouvé dans le même hôtel à Puerto Natales. Nous avons partagé une journée de découverte de Torres Del Paine ainsi qu’un restau à Ushuaia

-          Guillaume et Petra de Suisse : rencontrés dans le bus de Punta Arenas à Ushuaia, puis revus plusieurs fois à Ushuaia, pour finir dans le même hôtel à El Calafate. Ils ont passés beaucoup de temps avec les enfants. Ils étaient surnommés « les copains » par Eole.

-          L’équipe de français de Bariloche : Il y avait Anna et Dudu, Edouard, Véro et Thierry. Certains avaient été rencontrés dans la cuisine à El Calafate, un autre a été revu à Salta au détour d’une rue. Les dîners et les parties de carte (et plus particulièrement de Solo, un dérivé du Uno) ont été de très bons moments. Sans compter que certains professeurs en vacances ont partagé une matinée de classe avec les enfants.

-          La famille Mottin de France : Nous avions d’abord rencontrés le papa à l’agence de location de Salta, avant de revoir la famille entière avec ses 3 filles de 11, 8 et 6 ans monter dans le même bus que nous pour San Pedro De Atacama. Nous y avons partagé une excursion, un pisco sour et un gâteau d’anniversaire de 11 ans.

-          Patrice et Emilie d’Iguaçu : ce couple qui voyage pour 2 ans dans les écoles du monde entier étaient accompagnés lors de notre rencontre par leur ongle Charles et tante Marie-Claude et leur cousine Emilie.

-          Manuel, un gaucho de San Antonio De Areco : ce gaucho avec béret et bicyclette a voulu exercer son français avec nous, ce qui nous a permis d’apprendre ce qu’était une « gauchada », c'est-à-dire une histoire de cœur et de fierté lorsqu’on demande un service à un gaucho !

-          Yann et Laura de Buenos Aires : Nous avions eu le contact de Yann par un collègue de Florent. Ce français monte un hôtel La Querencia à Buenos Aires et vit avec Laura qui est argentine. Nous avons été des clients tests, avons été super bien reçus et avons partagé de bonnes soirées arrosées ainsi que le dîner d’anniversaire de Malo. Laura s’est beaucoup occupée des enfants, elle leur offert pleins de petits cadeaux qui les ont comblés et leur a même fait des crêpes dulce de leche coco.

    

        

La rubrique conseils et aides

- Côté Information, que ce soit pour les deux pays, globalement l’ensemble des grands sites touristiques, a des centres d’information et d’orientation même si les guides permettent parfois de gagner beaucoup de temps. Il faut très souvent par contre, faire le tri dans les paquets d’informations que l’on reçoit des différents acteurs locaux. Les conseils des hôtels sont souvent pertinents sans arrière pensée.

- Côté hébergement, nous avons eu la chance de parcourir ces pays durant la saison basse donc moins chers. Mais globalement les prix ne sont pas forcément bon marché même si ils sont en dessous de l’Europe. Par contre, il existe une multitude de proposition suivant ce que vous cherchez de la chambre chez l’habitant, aux auberges, aux hospedajes, aux hotels……Bref un grand choix dans toutes les villes touristiques. Durant notre période de voyage, nous n’avons jamais réservé à l’avance et nous avons trouvé sans problème mais attention pendant les saisons hautes.

- Côté budget, nous avons clairement été surpris des prix qui ne sont plus si bon marché que cela. Le Chili réputé comme le pays de la région le plus chère reste sur des prix assez élevé même si inférieur au Brésil. Nous avons trouvé les transports meilleur marché qu’en Argentine. L’Argentine reste meilleur marché pour tout ce qui est alimentation et hébergement mais avec une grande disparité entre la Patagonie chère et le Nord du pays meilleurs marché et surtout avec un gros problème d’inflation qui font monter les prix fortement.  Les bus très longues distance sont très confortables mais vraiment très chers surtout sur certains tronçons pour les quels il n’y a pas de concurrence. Globalement on est arrivé à dormir à 4 pour 30 euros dans les dortoirs des auberges de jeunesse. On a du mal à manger pour moins de 10 euros le repas à 4 même en partageant 2 plats à 4. Les parcs nationaux sont assez chers avec une double tarification (pour les locaux et pour les touristes) en Argentine.

- Et les bébêtes,vu la saison automnale durant laquelle nous y étions, le froid permet d’éviter considérablement les moustiques (ce qui fait du bien d’ailleurs…). Les insectes et autres animaux embêtant restent comme même présents. Par contre, côté rencontre animal, nous avons pu voir des guanacos, des chevaux, des brebis, des phoques, des cormorans,…..Nous avons aussi eu la chance de voir des pumas mais nous sommes arrivés trop tard pour la visite de la Péninsule Valdès qui regorge de dauphins, pingouins, phoques, orques et baleine durant l’été.

     

        

Prix et Reference

Le cours de la devise est d’environ 700 pesos chiliens pour 1 euro

Le cours de la devise est d’environ 5 pesos argentins pour 1 euro

Attention : les retraits en DAB sont limités à 1000 pesos argentins par carte et par retrait. Il n’est pas souvent possible de payer par carte bancaire. Quand cela est possible, l’AMEX est également acceptées. Parfois le paiement par carte est possible moyennant une taxe de 3%.

 

Quelques prix de référence :

-          Prix d’une bouteille d’eau de source : environ 400 pesos chiliens pour 1,6l (900 à Atacama) et 3,10 pesos argentins pour 1,6l (4 pesos pour 2,25l)

-          Prix d’une bière : nous avons plus souvent bu des vins chiliens et argentins que des bières. En Argentine, nous avons payé 5,4 le litre et 2,60 la canette de 33cl

-          Prix d’un litre de lait : nous n’avons acheté que des briques de lait pour les longs trajets en bus. 225 pesos chiliens la brique de 200ml et entre 2,75 et 4,10 pesos argentins la brique de 200ml.

-          Prix d’une glace : 700 à 1000 pesos chiliens et 2 à 3 pesos argentins pour une boule

-          En ce qui concerne le Mac Do : Nous n’avons pas testé le Mac Do au chili, mis à part Santiago, nous n’en avons pas vu. A Buenos Aires nous l’avons trouvé cher : 19 pesos argentins le menu enfant sans désert (mais les jouets étaient bien mieux que d’habitude !)

-          Prix d’un lavomatique : les prix varient beaucoup. 1000 à 2000 pesos chiliens par kilo. 16 à 36 pesos argentins la machine. 

-          Prix de l’essence : nous n’avons pas utilisé suffisamment la voiture, en Argentine, pour noter un prix moyen et pad du tout au Chili

-          Prix d’une connexion internet : la plupart des hôtels au Chili ou en Argentine propose la connexion internet gratuitement et très souvent le Wifi est également présent. Dans le nord de l’Argentine et du Chili nous avons trouvé plus difficilement. Nous avons payé une connexion à 800 pesos chiliens de l’heure à San Pedro de Atacama et 2,25 pesos argentins de l’heure à Buenos Aires. On trouve également du Wifi, dans certains restaurants, dans les gares routières et parfois les aéroports.